Ils pourront être en zinc (le plus fréquent), en tôle galvanisée ou en plomb.
Ils seront autoporteurs, posés sur un platelage en sapin traité ou viendront prendre place dans une corniche en pierre par exemple. Toutes les soudures nécessaires seront alors faites directement sur le chantier.
Un « trop-plein » sera systématiquement réalisé afin de permettre l’évacuation de l’eau en cas de bouchage du tuyau de descente et éviter ainsi tout remplissage du chéneau puis son débordement.
Tout comme pour les gouttières demi-rondes, havraises ou nantaises, un ou plusieurs joints de dilatation seront mis en oeuvre conformément aux normes en vigueur en fonction des longueurs posées afin de permettre au matériau de « s’étirer » en période chaude ou de « se rétrécir » en période froide sans mettre en péril la stabilité et la fonction de l’ouvrage.